Comme l’espace intra-thoracique humain est restreint, on néglige souvent le volume d’éjection du cœur artificiel, ce qui accélère artificiellement la fréquence cardiaque.

Pour contourner cette difficulté, les solutions actuelles utilisent des consoles de contrôles extracorporelles, ce qui nuit à la qualité de vie du patient.

   CARMAT a donc optimisé la forme de son cœur et miniaturisé tous les éléments de la régulation médicale pour pouvoir les intégrer à la prothèse tout en conservant le volume d’éjection même en cas d’efforts.

     Ils ont également mis au point un simulateur d’implantation virtuelle permettra au médecin de vérifier l’implantabilité  du cœur avant l’opération. Des simulations réalisées à partir de scanners de plus de 100 patients ont démontré la compatibilité anatomique avec au moins 65% des patients (86% des hommes).